pour info, une dépendance au poker
Posté: 06 Déc 2007, 08:47DEPENDANCE
Un dossier de VSD sur « les nouveaux accros au poker », une « pratique qui continue à attirer de nombreux adeptes, notamment des jeunes ». Affirmant que « la toile est devenue le principal support de ces nouveaux accros », le magazine souligne que la principale population concernée est celle des jeunes, notamment les mineurs, « attirés par le côté à la fois ludique et transgressif » du poker, sachant que ceux qui n’ont pas accès aux sites jouent chez eux, mais aussi au lycée où « le phénomène prend une ampleur inédite ». L’hebdo qui évoque les « impressionnants résultats » de certains « young guns » dans le circuit professionnel, rapporte que selon le psychiatre Marc Valleur « Avec la folie actuelle, certains sont persuadés que le poker peut devenir une alternative crédible aux études ». Pour Paul, 20 ans, qui se laisse « griser par l’ambiance fiévreuse des salles de jeux », « le plus dur est de savoir quitter la table ». Relevant que c’est là « le risque principal lié aux jeux d’argent » car « entre le passionné et le compulsif, la limite est souvent ténue notamment chez les jeunes », VSD précise que « selon des études anglo-saxonnes, les adolescents seraient même deux à quatre fois plus susceptibles que les adultes de développer une dépendance ». D’après le magazine, le gouvernement a décidé de se saisir du problème en faisant « de "l’addiction sans substance" un problème de santé publique », sachant que si le taux de joueurs dépendants est très faible, les consultations liées au poker se multiplient cependant dans les consultations spéinterditées. (article d’Emmanuel Fansten)
http://www.drogue.org.fr
Un dossier de VSD sur « les nouveaux accros au poker », une « pratique qui continue à attirer de nombreux adeptes, notamment des jeunes ». Affirmant que « la toile est devenue le principal support de ces nouveaux accros », le magazine souligne que la principale population concernée est celle des jeunes, notamment les mineurs, « attirés par le côté à la fois ludique et transgressif » du poker, sachant que ceux qui n’ont pas accès aux sites jouent chez eux, mais aussi au lycée où « le phénomène prend une ampleur inédite ». L’hebdo qui évoque les « impressionnants résultats » de certains « young guns » dans le circuit professionnel, rapporte que selon le psychiatre Marc Valleur « Avec la folie actuelle, certains sont persuadés que le poker peut devenir une alternative crédible aux études ». Pour Paul, 20 ans, qui se laisse « griser par l’ambiance fiévreuse des salles de jeux », « le plus dur est de savoir quitter la table ». Relevant que c’est là « le risque principal lié aux jeux d’argent » car « entre le passionné et le compulsif, la limite est souvent ténue notamment chez les jeunes », VSD précise que « selon des études anglo-saxonnes, les adolescents seraient même deux à quatre fois plus susceptibles que les adultes de développer une dépendance ». D’après le magazine, le gouvernement a décidé de se saisir du problème en faisant « de "l’addiction sans substance" un problème de santé publique », sachant que si le taux de joueurs dépendants est très faible, les consultations liées au poker se multiplient cependant dans les consultations spéinterditées. (article d’Emmanuel Fansten)
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